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26/01/2017

Non ! À l’ « Écoparc » du bois de Minteau

La Communauté de Communes doit délibérer sur la création de la ZAC de "l'Écoparc du bois de Minteau",  lors du prochain conseil communautaire de  jeudi soir 26 janvier - à 18h30.
 
Donc la création de la ZAC sera votée ce jour là .
Quelques personnes opposées à ce projet ont décidé d'aller rencontrer les élus à cette occasion et de les sensibiliser en leur distribuant un flyer qui en dénonce les aberrations écologiques et même économiques.
  
Si vous souhaitez vous joindre à nous, rendez vous devant l'escalier du conseil communautaire de la CC du Pays de Sommières
zone de l'Arnède à Sommières (derrière l'épicerie bio) à 18h
 
et pour ceux qui veulent discuter avant : rendez-vous à 17h30 au Jazz corner café place de la Libération à Sommières 

 

Non ! À l’ « Écoparc » du bois de Minteau



Les usagers de la garrigue, riverains, randonneurs à pied ou en VTT et chasseurs s’opposent depuis des années au projet du bois de Minteau, tous conscients qu’il faut protéger les rares espaces naturels et les zones agricoles encore préservés dans les plaines gardoises et dans la Vaunage en particulier, qui s’est plus urbanisée ces 20 dernières années que durant tout le siècle qui a précédé. Le paysage de garrigue, typique de la région, est un atout touristique, et ce projet va encore lui porter un coup.

De la ZAC de 160 hectares, prétendument hight tech, des années 1980-1990 à l’écoparc de 130 hectares des années 2000, prétendument vert, puis à celui de 100 hectares d’aujourd’hui, prétendument plus vert que vert, trente ans se sont écoulés. Entre temps est apparue la certitude scientifique de l’impact des activités humaines sur l’effroyable chute de la biodiversité, sur la destruction massive de l’environnement naturel ainsi que sur le changement climatique lié à l’usage des énergies fossiles.

Ce qui pouvait passer comme du développement et du progrès générateur d’emplois n’a plus lieu d’être. Car la crise est aussi passée par là. De nombreux locaux des ZAC industrielles voisines ou de Calvisson même, qui ont fleuris dans cette logique, sont restés vacants. Ce projet ne correspond donc pas à un besoin mais s’inscrit dans une course en avant vers une croissance totalement obsolète.

En revanche le point qui n’a pas changé depuis trente ans est le résultat évident de ce projet : la destruction d’hectares de garrigues au profit du béton fut-elle égayée de couloirs de verdure et de touffes de pins parasols résiduels. Tout cela à quelques centaines de mètres de Vergèze et de Boissières, les villages avoisinants réellement impactés par ce projet. Pourtant les résidants de ces localités voisines ne sont pas tenus informés de ce projet. Pire : leur maire n’a qu’un avis consultatif dans son déroulement. La démocratie est donc bafouée et les enquêtes et consultations publiques, souvent ignorées des principaux intéressés, ne sont qu’une mascarade administrative et réglementaire.

Élus de la communauté de communes de Sommières, sortez de cette logique destructrice, ne soyez pas les acteurs d’un massacre écologique de plus. Vos électeurs ne vous ont pas mandaté en ce sens au sujet du bois de Minteau.

Pensez aux jeunes des villages riverains du bois qui courent et jouent librement dans cette garrigue et que leurs parents et arrières grands parents sillonnent aussi.

Nul besoin de béton, le bois de Minteau est un écoparc naturel depuis toujours !

DITES NON à la ZAC de
"l’Écoparc du bois de Minteau ».



Selon l’Institut français de l’environnement (IFEN) l’artificialisation des terres croît annuellement de 60 000 ha, soit de 6 000 km² en 10 ans, l’équivalent du département de Seine-et-Marne.

Une pétition est en ligne

14/10/2016

CONSEIL MUNICIPAL DU 10/10/2016 LA POSTE A L ORDRE DU JOUR

Rappelons que le premier point à l'ordre du jour était :

"Projet Banque Postale (en présence des responsables)"

Lisa SANTONI, Déléguée aux relations territoriales et Noëlle ANTOINE, Chef de projet transformation sont venues nous présenter le projet de transformation qui consiste à tenir compte des flux réels des clients, de la qualité de vie au travail des salariés et la maîtrise des coûts... Tout un programme !

L'amplitude horaire (minimum en milieu rural) de notre bureau doit passer à 13h45 par semaine ; et c'est ainsi qu'on nous explique que maintenir notre bureau de poste ouvert le samedi viendrait à détériorer les conditions de travail des agents postaux ! Il est donc hors de question de réduire les horaires en choisissant un autre jour de la semaine, car cette fermeture va permettre aux agents de continuer à avoir un samedi sur 3 de congé !

Pas question non plus de créer des emplois, comme par exemple un poste de facteur-guichetier qui aurait permis de maintenir notre bureau de poste... Surtout pas, il faut maîtriser les coûts et faire des économies sur la masse salariale... Bien sûr on se targue de ne pas avoir recours au licenciement, mais on ne remplace pas les départs !!!

Et le service public, on n'en parle même plus ! Puisqu'il il s'agit de maintenir "une présence postale" mais pas forcément dans un bureau de poste avec un guichetier... Non, plutôt avec des automates, un point poste communal ou un point poste commercial... nous y voilà !!!

Pour Mus, l'automatisation ne serait pas rentable, pas de poste vacant pour un facteur-guichetier et hors de question pour la Mairie de mettre en place un point poste communal, il ne reste plus que le point commercial...

Enfin, malgré que nous ayons remis la copie du courrier adressé à la Direction de la Poste accompagné de notre pétition avec 360 signatures et que le conseil municipal n'approuve pas ce projet n'a changé en rien la décision qui était en fait déjà prise...

Pour conclure, nous déplorons de n'avoir vu que deux personnes assister à cette séance de conseil !

Armelle et Patrick

 Compte rendu : 09 10 octobre 2016.pdf

10/10/2016

CE SOIR 10 OCTOBRE LA POSTE A L ORDRE DU JOUR DU CONSEIL MUNICIPAL !

Vous avez été 360 à signer la pétition s’opposant à la fermeture de notre bureau de Poste le samedi matin  (184 signatures papier auxquelles s’ajoutent 176 signatures électroniques, dont 8 conseillers municipaux) !

N'oubliez pas ce soir :

Lundi 10 octobre 2016 à 19h00, le premier point à l’ordre du jour du prochain conseil municipal est :

 « Projet Banque Postale

(en présence des responsables) »

 La tenue des conseils municipaux étant publique,

venez assister nombreux à cette séance où le sort de notre bureau de Poste sera évoqué…